1. DENOMINATION DU MEDICAMENT
EFFERALGAN 500 mg, granulés en sachet
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Chaque sachet contient 500 mg de paracétamol.
Excipients à effet notoire: sorbitol (E420) 801 mg, saccharose 0,14 mg.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Granulés en sachet.
Granulés blancs ou presque blancs.
4. DONNEES CLINIQUES
4.1. Indications thérapeutiques
EFFERALGAN 500 mg est indiqué dans le traitement symptomatique des douleurs d'intensité légère à modérée et/ou des états fébriles.
4.2. Posologie et mode d'administration
Posologie
Population pédiatrique
Ce médicament est RÉSERVÉ À L'ADULTE, À L'ADOLESCENT ET À L'ENFANT pesant plus de 27 kg (à partir de 8 ans environ).
Chez l'enfant, il est impératif de respecter les posologies définies en fonction du poids de l'enfant et donc de choisir une présentation adaptée. Les âges approximatifs en fonction du poids sont donnés qu’à titre indicatif.
La dose quotidienne maximale de paracétamol est de 60 mg/kg/jour, à répartir en 4 ou 6 prises, soit 15 mg/kg toutes les 6 heures ou 10 mg/kg toutes les 4 heures.
Poids corporel (âge)
Prise unique
Intervalle entre chaque prise
Dose quotidienne maximale
27 kg -<41 kg
(8 – <10 ans)
500 mg de Paracétamol
(1 sachet)
6 heures
2000 mg de Paracétamol
(4 sachets)
41 kg -<50 kg
(10 – ≤12 ans)
500 mg de Paracétamol
(1 sachet)
4 heures
3000 mg de Paracétamol
(6 sachets)
≥50 kg
(>12 ans)
1000 mg de Paracétamol
(2 sachets)
4 heures
3000 mg de Paracétamol
(6 sachets)
Chez l'enfant, la dose totale de paracétamol ne doit pas dépasser 60 mg/kg/jour (voir rubrique 4.9).
Chez les adultes et les adolescents pesant plus de 50 kg, la posologie usuelle est de 3000 mg de paracétamol par jour, soit 6 sachets. Cependant, en cas de douleurs plus intenses, la posologie maximale peut être augmentée jusqu'à 4000 mg par jour, soit 8 sachets par jour.
Fréquence d'administration
Les prises régulières permettent d'éviter les oscillations de douleur ou de fièvre :
· Chez l'enfant, les prises doivent être régulièrement espacées, y compris la nuit, de préférence de 6 heures, et d'au moins 4 heures.
· Chez l'adulte et l'adolescent, elles doivent être espacées de 4 heures minimum.
Comme pour tout antalgique, le traitement doit être aussi court que possible et sa durée sera adaptée aux symptômes.
En cas de persistance de la douleur au-delà de 5 jours, ou de la fièvre au-delà de 3 jours, les patients ne doivent pas continuer le traitement sans consulter leur médecin.
La dose journalière efficace la plus faible possible doit être envisagée sans dépasser 60 mg/kg/jour (sans dépasser 3000 mg/jour) dans les situations suivantes :
· Adultes et adolescents de moins de 50 kg
· Insuffisance hépatocellulaire (légère à modérée)
· Alcoolisme chronique
· Déshydratation
· Malnutrition chronique
· Insuffisance hépatique ou rénale
· Syndrome de Gilbert
Sujets âgés
Aucun ajustement posologique n’est nécessaire chez les personnes âgées.
Insuffisance rénale
Chez les patients atteints d'insuffisance rénale, l'intervalle minimal entre deux prises doit être modifié selon le tableau suivant:
Clairance de la créatinine
Intervalle entre chaque prise
cl ≥50 mL/min
4 heures
cl 10-50 mL/min
6 heures
cl <10 mL/min
8 heures
La dose de paracétamol ne doit pas dépasser 3000 mg/jour.
Insuffisance hépatique
La dose de paracétamol ne doit pas dépasser 2000 mg/jour chez les patients atteints de maladie hépatique chronique, ou active etcompensée, en particulier chez ceux qui présentent une insuffisance hépatocellulaire, un alcoolisme chronique, une malnutrition chronique (réserves basses en glutathion hépatique), un syndrome de Gilbert (jaunisse familiale non-hémolytique) une déshydratation.
Mode d’administration
Voie orale uniquement. Les granulés sont à prendre directement dans la bouche, sur la langue, et doivent être avalés sans eau.
4.3. Contre-indications
Hypersensibilité à la substance active ou à l'un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.
Insuffisance hépatocellulaire sévère ou maladie hépatique active décompensée.
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d'emploi
Population pédiatrique
Pour éviter un risque de surdosage :
· vérifier l'absence de paracétamol dans la composition d'autres médicaments.
· respecter les doses maximales recommandées (voir rubrique 4.2).
Chez un enfant traité par 60 mg/kg/jour de paracétamol, l'association d'un autre antipyrétique n'est justifiée qu'en cas d'inefficacité.
De très rares cas de réactions cutanées graves ont été rapportés.
Le paracétamol est à utiliser avec précaution dans les situations suivantes :
· Poids < 50 kg
· Insuffisance hépatocellulaire légère à modérée
· Alcoolisme chronique, consommation excessive d’alcool (3 boissons alcoolisées ou plus chaque jour)
· Insuffisance rénale [voir rubriques 4.2]
· Syndrome de Gilbert (jaunisse familiale non-hémolytique)
· Traitement concomitant avec des médicaments affectant les fonctions hépatiques
· Déficience en glucose-6-phosphate déshydrogénase
· Anémie hémolytique
· Malnutrition chronique (réserves basses en glutathion hépatique)
· Déshydratation (voir rubrique 4.2).
En cas de découverte d'une hépatite virale aiguë, le traitement doit être arrêté.
Ce médicament contient du sorbitol (E420) et du saccharose. Son utilisation est déconseillée chez les patients présentant une intolérance au fructose (maladie héréditaire rare), un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou un déficit en sucrase/isomaltase.
4.5. Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
La prise de probénécide inhibe la liaison du paracétamol à l'acide glucuronique provoquant ainsi une diminution de la clairance du paracétamol d'un facteur d'environ 2. La dose de paracétamol doit être réduite chez les patients prenant du probénécide en concomitance.
Le salicylamide peut allonger la demi-vie d'élimination du paracétamol.
Le métabolisme du paracétamol est augmenté chez les patients prenant des médicaments inducteurs enzymatiques tels la rifampicine et certains antiépileptiques (carbamazépine, phénytoïne, phénobarbital, primidone). Des signalements ponctuels décrivent une hépatotoxicité inattendue chez les patients prenant des médicaments inducteurs enzymatiques.
Les patients recevant un traitement par la phénytoïne doivent éviter des grandes et/ou doses chroniques de paracétamol. Les patients seront soumis à une surveillance pour des signes d'hépatotoxicité.
La prise concomitante du paracétamol et d'AZT (zidovudine) augmente la tendance à la neutropénie. Par conséquent, ce médicament ne doit être co-administré avec l'AZT que sur avis médical.
La prise concomitante de médicaments accélérant la vidange gastrique, tel le métoclopramide, accélère l'absorption et la survenue de l'effet du paracétamol.
La prise concomitante de médicaments ralentissant la vidange gastrique peut retarder l'absorption et la survenue de l'effet du paracétamol.
La cholestyramine réduit l'absorption du paracétamol et par conséquent ne doit pas être administrée dans l'heure suivant la prise de paracétamol.
Associations faisant l'objet de précautions d’emploi
La prise répétée de paracétamol durant plus d'une semaine augmente l'effet des anticoagulants, en particulier la warfarine. Par conséquent, l'administration à long terme de paracétamol chez des patients sous traitement anticoagulant ne doit se faire que sous surveillance médicale.
L'utilisation concomitante de paracétamol avec des coumadines incluant la warfarine peut mener à des variations légères des valeurs d'INR. Dans ce cas, un contrôle accru des valeurs d'INR devrait être conduit pendant la période d'utilisation concomitante ainsi que la semaine suivant l’arrêt du traitement de paracétamol.
La prise ponctuelle de paracétamol n'a pas d'effet significatif sur la tendance hémorragique.
Effets sur les examens paracliniques
La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l'acide urique sanguin par la méthode à l'acide phosphotungstique et le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase. Le probénécide provoque une diminution de presque moitié de la clairance du paracétamol en inhibant sa conjugaison avec l'acide glucuronique. Une diminution de la dose de paracétamol doit être envisagée en cas de traitement concomitant avec le probénécide.
La prise de paracétamol augmente les concentrations plasmatiques de l’acide acétylsalicylique et du chloramphénicol.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse
Les données épidémiologiques sur l'administration orale de doses thérapeutiques de paracétamol n'indiquent pas d'effets indésirables sur la grossesse, sur la santé du fœtus ou du nouveau-né. Les données prospectives sur le surdosage pendant la grossesse n'ont pas montré de risque accru de malformation. Les études de reproduction sur l'administration orale n'ont pas indiqué de signes de malformation ou de toxicité fœtale (voir rubrique 5.3).
Le paracétamol est considéré comme étant sûr quand il est utilisé aux doses thérapeutiques à court-terme. Le paracétamol peut être utilisé pendant toute la grossesse après une évaluation du bénéfice-risque.
Pendant la grossesse, le paracétamol ne doit pas être utilisé sur de longues périodes, à des doses élevées ou en association avec d'autres médicaments car la sécurité d'utilisation n'a pas été établie dans de tels cas.
Allaitement
Le paracétamol est excrété en petites quantités dans le lait maternel suite à une administration orale. Le paracétamol peut être utilisé chez les femmes qui allaitent tant que la posologie recommandée n’est pas dépassée.
Fertilité
Chez les animaux mâles, des doses élevées de paracétamol administrées par voie orale ont nui à la spermatogenèse et provoqué une atrophie testiculaire.
4.7. Effets sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Le paracétamol n'a aucun effet ou un effet négligeable sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
4.8. Effets indésirables
Très fréquent (³1/10)
Fréquent (³1/100 à <1/10)
Peu fréquent (³1/1 000 à <1/100)
Rare (³1/10 000 à <1/1 000)
Très rare (<1/10 000)
Fréquence indéterminée (ne peut être estimé à partir des données disponibles)
Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont présentés dans un ordre décroissant de gravité.
Affections hématologiques et du système lymphatique
Rare : anémie, anémie non hémolytique, dépression de la moelle osseuse, thrombocytopénie, leucopénie, neutropénie.
Affections vasculaires
Rare : Œdème.
Fréquence indéterminée : hypotension (en tant que symptôme d'anaphylaxie)
Affections gastro-intestinales
Rare : pancréatite aiguë et chronique, hémorragie, douleur abdominale, diarrhée, nausée, vomissement, défaillance hépatique, nécrose hépatique, jaunisse.
Affections de la peau et du tissu sous-cutané
Rare : prurit, rash, sécrétion de sueur, purpura, angiœdème, urticaire.
De très rares cas de réactions cutanées ont été rapportés.
Troubles du système immunitaire
Fréquence indéterminée : choc anaphylactique, œdème de Quincke, réaction d'hypersensibilité
Troubles hépatobiliaires :
Fréquence indéterminée : enzyme hépatique augmentée
Affections du rein et des voies urinaires
Rare : néphropathies et troubles tubulaires
Le paracétamol est largement utilisé et les signalements d'effets indésirables sont rares et généralement associés à une surdose.
Les effets néphrotoxiques sont peu fréquents et leurs signalements n’étaient pas associés à des doses thérapeutiques, sauf après une administration prolongée.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet : www.ansm.sante.fr.
4.9. Surdosage
Il existe un risque d’intoxication, en particulier chez les sujets âgés, les jeunes enfants, les patients atteints d'une maladie hépatique, en cas d’alcoolisme chronique, chez les patients atteints de malnutrition chronique et chez les patients recevant des inducteurs enzymatiques. Dans ces cas, le surdosage peut être mortel.
Symptômes
Les symptômes apparaissent généralement dans les 24 premières heures et comportent : nausées, vomissements, anorexie, pâleur malaise, diaphorèse et douleurs abdominales.
Un surdosage, de 10 g ou plus de paracétamol en prise unique chez l'adulte ou de 150 mg/kg de poids corporel en prise unique chez l'enfant, provoque une nécrose des cellules du foie susceptible d’entraîner une nécrose complète et irréversible, aboutissant à une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique et une encéphalopathie pouvant entraîner le coma et la mort. Simultanément, on observe une augmentation des taux de transaminases hépatiques (ASAT, ALAT), de lacticodéshydrogénase et de bilirubine associée à une augmentation du taux de prothrombine qui peut apparaître 12 à 48 heures après l’administration. Les symptômes cliniques de l’atteinte hépatique sont généralement observés après 1 à 2 jours, et atteignent un maximum après 3 à 4 jours.
Conduite d'urgence
· Transfert immédiat en milieu hospitalier.
· Prélever un tube de sang pour doser la concentration plasmatique initiale en paracétamol dès que possible à partir de la 4èmeheure après l’ingestion
· Evacuation rapide du produit ingéré, par lavage gastrique.
· Dès que possible et avant la dixième heure après le surdosage, administration I.V. (ou orale si possible) de l'antidote N-acétylcystéine.
· Un traitement symptomatique doit être mis en place.
· Des tests hépatiques doivent être effectués au début du traitement et répétés toutes les 24 heures. Dans la plupart des cas, les transaminases hépatiques reviennent à la normale en 1 à 2 semaines avec une restitution intégrale de la fonction hépatique. Cependant, dans les cas très graves, une transplantation hépatique peut être nécessaire
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : antalgiques; autres antalgiques et antipyrétiques; anilides Code ATC : N02BE01
Mécanisme d’action
Le mécanisme de l'action antalgique n'a pas été complètement élucidé. Le paracétamol pourrait agir principalement en inhibant la synthèse des prostaglandines dans le système nerveux central (SNC) et, à un moindre degré, par une action périphérique en bloquant la génération de l'impulsion douloureuse. L'action périphérique pourrait aussi être due à l'inhibition de la synthèse des prostaglandines ou à l'inhibition de la synthèse ou des actions d'autres substances sensibilisant les récepteurs de la douleur à la stimulation mécanique ou chimique.
Effets pharmacodynamiques
L’effet antipyrétique du paracétamol est probablement dû à une action centrale sur le centre hypothalamique thermorégulateur qui entraîne une vasodilatation périphérique responsable d’une augmentation du flux sanguin à travers la peau, d’une sudation et d’une perte de chaleur. L'action centrale implique probablement une inhibition de la synthèse des prostaglandines au sein de l'hypothalamus.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
Absorption
L'absorption du paracétamol par voie orale est complète et rapide. Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes 30 à 60 minutes après ingestion.
Distribution
Le paracétamol est distribué rapidement dans tous les tissus. Les concentrations sont comparables dans le sang, la salive et le plasma. La liaison aux protéines plasmatiques est faible. Tmax : 0,5 - 2 heures; Cmax : 5 - 20 microgrammes (μg)/ml (avec des doses jusqu'à 50 mg ou moins) ; Pic de l’effet : 1- 3 heures ; durée d'action : 3- 4 heures.
Biotransformation
Le paracétamol est principalement métabolisé dans le foie. Les 2 voies métaboliques majeures sont la glycuroconjugaison et la sulfoconjugaison. Cette dernière voie est rapidement saturable aux posologies supérieures aux doses thérapeutiques. Une voie mineure, catalysée par le cytochrome P 450, forme un intermédiaire réactif (le N-acétyl benzoquinone imine) qui, dans les conditions normales d'utilisation, est rapidement détoxifié par le glutathion réduit et éliminé dans les urines après conjugaison à la cystéine et à l'acide mercaptopurique. En revanche, lors d'intoxications majeures, la quantité de ce métabolite toxique est augmentée.
Élimination
L'élimination est essentiellement urinaire. 90 % de la dose ingérée est éliminée par le rein en 24 heures, principalement sous forme glycuroconjuguée (60 à 80 %) et sulfoconjuguée (20 à 30 %). Moins de 5 % est éliminé sous forme inchangée. La demi-vie d'élimination est d'environ 2 heures.
Variations physiopatholoqiques
Insuffisance rénale : en cas d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 10 ml/min), l'élimination du paracétamol et de ses métabolites est retardée.
Sujets âgés : la capacité de conjugaison n'est pas modifiée.
5.3. Données de sécurité préclinique
A des doses hépatotoxiques, le paracétamol a démontré un potentiel génotoxique et carcinogène (tumeurs au niveau du foie et de la vessie), chez la souris et le rat. Cependant, cette activité génotoxique et carcinogène est considérée comme liée aux modifications du métabolisme du paracétamol lors de l'administration de doses ou de concentrations élevées et ne présente pas de risque pour l'utilisation clinique.
A des doses non-hépatotoxiques, le paracétamol n'était pas tératogène chez la souris et n'a pas induit d’anomalies dans le développement intra-utérin chez le rat. Des doses élevées de paracétamol administrées par voie orale ont nui à la spermatogenèse et ont provoqué une atrophie testiculaire.
6. DONNEES PHARMACEUTIQUES
6.1. Liste des excipients
Sorbitol (E420)
Talc
Copolymère méthacrylate basique
Oxyde de magnésium léger
Carmellose sodique
Sucralose (E955)
Stéarate de magnésium
Hypromellose
Acide stéarique
Laurylsulfate de sodium
Dioxyde de titane (E171)
N,2,3-triméthyl-2-(propan-2-yl) butanamide
Siméticone
Arôme fraise (contient maltodextrine, gomme arabique (E414), substances aromatisantes naturelles et identiques aux naturelles, propylène glycol (E1520), triacétate de glycéryle (E1518), 3-hydroxy-2-méthyl-4H-pyran-4-one (E636))
Arôme vanille (contient maltrodextrine, substances aromatisantes naturelles et identiques aux naturelles, propylène glycol (E1520), saccharose)
6.2. Incompatibilités
Sans objet.
6.3. Durée de conservation
3 ans.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver dans l'emballage d'origine à l'abri de la lumière et de l'humidité.
A conserver à une température ne dépassant pas 30°C.
6.5. Nature et contenu de l'emballage extérieur
Sachets d'aluminium.
Boîte de 8, 10, 16, 20, 48 et 50 sachets.
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
UPSA SAS
3, RUE JOSEPH MONIER
92500 RUEIL MALMAISON